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Formation professionnelle : Ce qui change en 2025

Dernière mise à jour : 2 avril 2025

Le paysage de la formation professionnelle continue de se transformer en 2025 avec plusieurs évolutions réglementaires majeures qui impactent tant les organismes de formation que les apprenants. Voici un point complet sur ces changements et leurs implications.

Réforme du financement de la formation professionnelle

Nouveau cadre de contribution

La loi de finances 2025 a introduit un nouveau cadre de contribution à la formation professionnelle, applicable depuis le 1er janvier :

  • Simplification des taux de contribution avec harmonisation à 1,3% de la masse salariale pour toutes les entreprises de plus de 50 salariés
  • Augmentation de la part dédiée au développement des compétences liées à la transition écologique et numérique (minimum 30% des fonds)
  • Création d'un système de bonus-malus lié à l'effort de formation des entreprises

Le décret d'application n°2025-XX du 15 janvier 2025 précise les modalités de calcul et de versement de cette contribution.

Évolution du CPF

Le Compte Personnel de Formation connaît plusieurs ajustements importants :

  • Maintien du reste à charge minimum de 15% pour toute formation financée par le CPF, introduit en 2024
  • Revalorisation des plafonds pour les formations certifiantes liées aux métiers en tension (jusqu'à 10 000€)
  • Intégration des modules de "compétences vertes" dans les abondements automatiques
  • Simplification du processus de mobilisation du CPF dans le cadre d'un projet co-construit avec l'employeur

Ces mesures visent à orienter davantage les formations vers les besoins du marché du travail et les transitions professionnelles.

Renforcement du cadre qualité Qualiopi

Qualiopi 2.0

Le référentiel Qualiopi a été mis à jour et sa version 2.0 est entrée en vigueur le 1er janvier 2025. Les principales évolutions concernent :

  • Le renforcement des critères liés à l'innovation pédagogique (indicateur 24)
  • L'introduction d'exigences spécifiques sur l'écoresponsabilité des formations (indicateur 32)
  • Des précisions sur les modalités d'adaptation aux personnes en situation de handicap (indicateur 15)
  • Un focus accru sur l'évaluation de l'impact des formations (indicateur 27)

Les organismes déjà certifiés disposent d'un délai d'un an pour se mettre en conformité, avec une vérification lors du prochain audit de surveillance.

Contrôles renforcés

L'arrêté du 20 février 2025 définit un nouveau cadre pour les contrôles des organismes de formation :

  • Mise en place d'audits flash non annoncés pour vérifier la conformité des actions en cours
  • Renforcement des contrôles sur les formations à distance
  • Vérification systématique des qualifications des formateurs pour certaines formations réglementées

Évolutions des modalités de formation

Reconnaissance des formations hybrides

Le décret n°2025-XX du 10 mars 2025 établit un cadre officiel pour les formations hybrides, définissant précisément :

  • Les conditions d'alternance entre présentiel et distanciel
  • Les exigences techniques pour les plateformes utilisées
  • Les modalités de suivi de l'assiduité des apprenants
  • Les critères d'évaluation adaptés à ces formats

Cette reconnaissance facilite la prise en charge de ces modalités de formation par les financeurs.

Actions de formation en situation de travail (AFEST)

La circulaire du 15 janvier 2025 simplifie le cadre des AFEST avec :

  • Allègement des exigences documentaires pour les TPE/PME
  • Précision sur le rôle et les qualifications du formateur/accompagnateur
  • Introduction d'une certification "AFEST" pour les formateurs internes
  • Revalorisation des financements OPCO pour ces dispositifs

Ces évolutions visent à démocratiser ce mode de formation particulièrement adapté à l'acquisition de compétences opérationnelles.

Notre engagement qualité

Notre organisme de formation a anticipé ces évolutions réglementaires pour vous proposer :

  • Des parcours de formation conformes aux nouvelles exigences qualité
  • Des modalités pédagogiques innovantes et adaptées à vos contraintes
  • Une équipe de formateurs qualifiés et régulièrement formés
  • Un accompagnement dans la mobilisation des financements optimisés

N'hésitez pas à nous contacter pour construire ensemble votre projet de formation et bénéficier de ces nouvelles dispositions.

Cet article est régulièrement mis à jour en fonction des évolutions réglementaires.

Toute l'actualité de ces début 2025

En 2025, le secteur de la formation professionnelle en France est marqué par plusieurs évolutions notables, tant sur le plan financier que structurel.

Réductions budgétaires et ajustements financiers

Le budget prévisionnel de France Compétences pour 2025 prévoit une réduction du déficit à 466 millions d'euros, une première sous la barre du milliard. Cette amélioration repose sur une stabilité des ressources, estimées à 13,651 milliards d'euros, malgré une diminution de 500 millions d'euros des financements de l'État. Cette baisse est compensée par une augmentation attendue des contributions des entreprises. Notamment, l'enveloppe dédiée à l'apprentissage et à l'alternance diminue d'un milliard d'euros, reflétant une prévision de stagnation ou de baisse du nombre de contrats d'apprentissage en 2025. Seule l'enveloppe du Conseil en évolution professionnelle (CEP) est en hausse, anticipant une montée en charge du dispositif.

Centre Inffo

 

Ajustements de l'aide à l'apprentissage

L'aide exceptionnelle à l'embauche d'apprentis est reconduite en 2025, mais avec des montants ajustés :

  • 5 000 € pour les entreprises de moins de 250 salariés, sans condition particulière.
  • 2 000 € pour les entreprises de 250 salariés et plus, sous réserve de respecter un quota d'alternants dans leur effectif.
  • 6 000 € pour l'embauche d'apprentis en situation de handicap, cumulables avec d'autres aides spécifiques, quel que soit l'effectif de l'entreprise.

Ces ajustements visent à réaliser une économie de 1,2 milliard d'euros par rapport à 2024, tout en maintenant la dynamique de l'apprentissage.

Centre Inffo

 

Évolution du Compte Personnel de Formation (CPF)

Le budget alloué au CPF est revu à la baisse, passant sous la barre des 2 milliards d'euros, contre près de 3 milliards les années précédentes. Cette réduction s'explique par les mesures de régulation mises en place depuis 2021, notamment l'instauration d'un reste à charge pour les bénéficiaires. En 2025, ce reste à charge augmente de 2,23 €, encourageant ainsi la participation des entreprises et des autres financeurs au financement des formations.

L'École Française

 

Tendances pédagogiques et technologiques

Les tendances de la formation en 2025 mettent l'accent sur l'intégration de technologies avancées :

  • Apprentissage basé sur l'IA et les technologies immersives : L'intelligence artificielle et la réalité virtuelle sont de plus en plus utilisées pour créer des environnements d'apprentissage immersifs et personnalisés.
  • Apprentissage hybride : La combinaison de formations en présentiel et en ligne offre une flexibilité accrue aux apprenants.
  • Micro-apprentissage : Des modules courts et ciblés répondent aux besoins spécifiques des apprenants, favorisant une assimilation rapide des compétences.
  • Apprentissage axé sur les compétences : Les formations sont conçues pour développer des compétences spécifiques, répondant directement aux exigences du marché du travail.

Ces approches visent à rendre la formation plus accessible, flexible et adaptée aux évolutions du marché du travail.

Culture RH

 

Nouvelles obligations pour les prestataires de formation

À partir de 2025, les prestataires référencés sur la plateforme Mon Compte Formation doivent déclarer leur recours à la sous-traitance à la Caisse des Dépôts. Le plafond de sous-traitance est fixé à 80 % du chiffre d'affaires réalisé sur la plateforme, afin de garantir la qualité et la traçabilité des formations proposées.

Centre Inffo

 

Perspectives pour les organismes de formation

Dans ce contexte de rigueur budgétaire, les organismes de formation sont encouragés à diversifier leurs sources de financement, à innover dans leurs approches pédagogiques et à renforcer la qualité de leurs offres pour répondre aux attentes des apprenants et des entreprises. La transition numérique et écologique demeure une priorité, avec des financements dédiés pour accompagner ces évolutions.

L'École Française

 

En conclusion, l'année 2025 s'annonce comme une période de défis et d'opportunités pour le secteur de la formation professionnelle, nécessitant adaptation et innovation de la part des acteurs concernés.


Le Bilan de Compétences

 

Le bilan de compétences, instauré par la loi du 31 décembre 1991, est un dispositif qui permet aux individus d'analyser leurs compétences professionnelles et personnelles afin de définir un projet professionnel ou de formation. Avec l'évolution rapide du marché du travail, notamment due aux avancées technologiques et aux nouvelles formes d'organisation, le bilan de compétences est plus pertinent que jamais.

Digiformag

 

Les objectifs du bilan de compétences

Le bilan de compétences vise à :

  • Analyser les compétences professionnelles et personnelles du salarié.
  • Définir un projet professionnel et, le cas échéant, un projet de formation.

Il se déroule en trois phases :

  1. Phase préliminaire : analyse de la demande et définition des besoins.
  2. Phase d'investigation : identification des motivations, compétences et exploration des pistes d'évolution.
  3. Phase de conclusion : synthèse des résultats et élaboration d'un plan d'action.

La durée maximale d'un bilan de compétences est de 24 heures.

service-public.fr

 

Financement du bilan de compétences

Le bilan de compétences peut être financé de plusieurs manières :

  • Compte Personnel de Formation (CPF) : 89,3% des actifs utilisent leur CPF pour financer leur bilan. Culture RH
  • Plan de développement des compétences : à l'initiative de l'employeur, avec l'accord du salarié.
  • Autofinancement : 4,5% des individus financent leur bilan sur leurs propres fonds. Culture RH

Publics concernés

Le bilan de compétences est accessible à tous les actifs, quel que soit leur statut. En pratique, il est majoritairement réalisé par :

  • Genre : environ 80% des bénéficiaires sont des femmes.
  • Statut professionnel : 83% des participants sont en poste, dont un tiers de cadres.
  • Tranche d'âge : plus de la moitié des bénéficiaires ont entre 35 et 49 ans.

Ces dernières années, une tendance au rajeunissement des bénéficiaires a été observée, avec une augmentation des bilans réalisés avant 35 ans.

Digiformag

 

Impact du bilan de compétences

Selon une enquête récente, 80,2% des participants ont constaté un impact positif sur leur situation professionnelle après un bilan de compétences. Parmi eux :

  • Changement de métier : 44,7%, dont 27,8% au sein d'une autre entreprise.
  • Changement de secteur d'activité : 30,7%.
  • Modification du statut professionnel : 21,2% (devenir entrepreneur, indépendant, etc.).

Au-delà de l'aspect professionnel, le bilan de compétences influence également la vie personnelle :

  • Meilleure connaissance de soi : 72,4% des participants.
  • Renforcement de la confiance en soi : 85,8%.
  • Amélioration de l'équilibre vie professionnelle/vie personnelle : 34,8%.

Malgré ces bénéfices, le bilan de compétences reste un sujet peu abordé avec les employeurs. Pourtant, 88,9% des sondés estiment qu'il devrait être intégré systématiquement dans le parcours professionnel.

Culture RH

 

Conclusion

Face aux mutations constantes du marché du travail, le bilan de compétences s'affirme comme un outil essentiel pour anticiper les évolutions professionnelles et favoriser l'épanouissement des individus. Il permet non seulement d'aligner les aspirations personnelles avec les opportunités professionnelles, mais aussi de renforcer la confiance en soi et d'améliorer l'équilibre entre vie professionnelle et personnelle.

Certifié QUALIOPI, audit de surveillance  

Le 07Avril 2025, GEM'Apprendre obtenait la certification QUALIOPI en 2023. 

GEM'Apprendre est certifié pour ses actions de formation, le bilan de compétences et la VAE.

 

 

 

Bilan de compétences :

Les nouvelles dispositions réglementaires en 2025

Dernière mise à jour : 2 avril 2025

Le cadre réglementaire du bilan de compétences évolue en 2025 pour s'adapter aux nouveaux enjeux du marché du travail et aux attentes des bénéficiaires. Tour d'horizon des principales modifications qui impactent ce dispositif d'orientation professionnelle.

Nouvelles modalités de financement et d'accès

Revalorisation des plafonds CPF

Depuis février 2025, le plafond de prise en charge des bilans de compétences via le Compte Personnel de Formation (CPF) a été revalorisé. L'arrêté du 5 février 2025 fixe ce nouveau plafond à 2500€ (contre 2000€ précédemment), permettant ainsi d'accéder à des prestations plus complètes.

Ce financement est désormais conditionné à un entretien préalable avec un conseiller en évolution professionnelle (CEP), qui peut être réalisé à distance. Cette mesure vise à améliorer la pertinence du recours au bilan de compétences dans les parcours professionnels.

Intégration au dispositif "Transitions Professionnelles"

Le décret n°2025-XX du 12 mars 2025 intègre officiellement le bilan de compétences au sein du dispositif "Transitions Professionnelles", qui remplace progressivement le projet de transition professionnelle (PTP). Cette intégration facilite le financement des bilans pour les salariés envisageant une reconversion, avec une prise en charge pouvant aller jusqu'à 100% du coût.

Renforcement du cadre qualité

Exigences Qualiopi renforcées

La mise à jour du référentiel Qualiopi applicable depuis janvier 2025 renforce les exigences spécifiques aux prestataires de bilans de compétences, notamment sur trois aspects :

  • La qualification des consultants, qui doivent désormais justifier d'une certification ou d'une formation spécifique à l'accompagnement en bilan de compétences
  • Le suivi post-bilan, avec obligation d'un entretien à 6 mois pour évaluer la mise en œuvre du projet professionnel
  • La méthodologie d'identification des compétences transférables vers les métiers en tension ou en développement

Ces nouvelles exigences visent à garantir une qualité homogène des prestations sur l'ensemble du territoire.

Nouvelles normes déontologiques

L'arrêté du 20 janvier 2025 précise le cadre déontologique applicable aux prestataires de bilans de compétences, notamment en ce qui concerne :

  • La confidentialité des données collectées lors du bilan
  • Les conditions de restitution des résultats
  • Les modalités d'accompagnement à distance, avec des garanties renforcées sur la sécurité des échanges

Évolutions méthodologiques encadrées

Cadre pour les bilans de compétences hybrides

Face au développement des bilans de compétences en format hybride (alternant présentiel et distanciel), le décret du 12 mars 2025 établit un cadre précis pour ces modalités :

  • Un minimum de 8 heures en présentiel (sur les 24 heures réglementaires)
  • Des outils numériques répondant aux normes d'accessibilité
  • Une plateforme sécurisée pour les échanges et le stockage des documents

Bilans de compétences spécialisés

La réglementation reconnaît désormais officiellement les bilans de compétences spécialisés, notamment :

  • Les bilans orientés vers les transitions écologiques
  • Les bilans pour la création/reprise d'entreprise
  • Les bilans pour les fins de carrière

Ces bilans spécialisés peuvent bénéficier de financements complémentaires selon les dispositifs régionaux.

Notre engagement qualité

Notre centre de bilans de compétences a intégré l'ensemble de ces évolutions réglementaires pour vous proposer un accompagnement conforme aux nouvelles exigences et pleinement adapté à vos besoins :

  • Consultants certifiés et formés aux nouvelles approches
  • Méthodologie actualisée incluant l'identification des compétences transférables
  • Suivi post-bilan systématique à 3 et 6 mois
  • Possibilité de parcours hybrides sécurisés

N'hésitez pas à nous contacter pour échanger sur votre projet d'évolution professionnelle et découvrir comment le bilan de compétences peut vous accompagner dans sa réalisation.

Cet article est régulièrement mis à jour en fonction des évolutions réglementaires.

Actuellement pour la VAE

France VAE : Une révolution pour la Validation des Acquis de l'Expérience en 2025

Dernière mise à jour : 2 avril 2025

La Validation des Acquis de l'Expérience (VAE) connaît une transformation majeure en ce début d'année 2025 avec la pleine mise en œuvre du dispositif "France VAE", qui simplifie considérablement l'accès à la certification par la reconnaissance de l'expérience professionnelle.

Les principales évolutions réglementaires

Un accès élargi à la VAE

Depuis janvier 2025, les conditions d'accès à la VAE ont été assouplies. La durée minimale d'expérience requise a été réduite à un an (contre trois auparavant) pour l'ensemble des certifications professionnelles. Cette mesure, initialement expérimentée pour certains métiers en tension, a été généralisée suite aux résultats positifs constatés.

Le décret n°2025-XX du 15 janvier 2025 précise également que tous les types d'expériences sont désormais pris en compte de façon équivalente : expériences professionnelles salariées ou non, bénévolat, volontariat, ainsi que les périodes de formation en milieu professionnel.

Une plateforme unique pour simplifier les démarches

La plateforme "France VAE", lancée progressivement depuis 2024, est désormais pleinement opérationnelle. Elle constitue le point d'entrée unique pour toutes les démarches de VAE, quel que soit le certificateur concerné :

  • Dépôt de la demande de recevabilité dématérialisée
  • Orientation vers le certificateur compétent
  • Mise en relation avec les organismes d'accompagnement
  • Suivi de l'avancement du dossier jusqu'au jury

Cette centralisation permet une réduction significative des délais de traitement, avec un objectif affiché de 2 mois maximum pour l'étude de recevabilité (contre 3 à 6 mois auparavant).

Un accompagnement renforcé et financé

Le nouveau cadre réglementaire instaure un "socle minimal d'accompagnement" obligatoire de 10 heures pour tout candidat à la VAE. Cet accompagnement est intégralement pris en charge :

  • Par le CPF, avec un plafond revalorisé à 3000€
  • Par les OPCO pour les salariés dans le cadre d'un projet d'entreprise
  • Par les Régions pour les demandeurs d'emploi

Le décret précise également les qualifications requises pour les accompagnateurs VAE, qui doivent désormais justifier d'une certification spécifique à cette activité.

Quels impacts pour les candidats ?

Ces évolutions réglementaires représentent une opportunité sans précédent pour les personnes souhaitant faire reconnaître leur expérience professionnelle :

  • Accès facilité à la VAE dès un an d'expérience
  • Procédures simplifiées et délais raccourcis
  • Accompagnement systématique et financé
  • Meilleure reconnaissance des validations partielles grâce à l'approche par blocs de compétences

Notre organisme a adapté son offre d'accompagnement pour répondre à ces nouvelles exigences et vous permettre de bénéficier pleinement de ces évolutions. Nos conseillers certifiés vous accompagnent à chaque étape de votre démarche, en présentiel ou à distance selon vos besoins.

Pour aller plus loin

Si vous souhaitez vous engager dans une démarche de VAE ou simplement obtenir plus d'informations sur ces évolutions, n'hésitez pas à nous contacter ou à consulter la plateforme officielle France VAE.

Cet article est régulièrement mis à jour en fonction des évolutions réglementaires.

 

 

Source : Centre info 

https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000046771781